Et toi, c’est quoi ton rêve?

Des rêves j’en ai toujours eu, j’en aurais toujours je pense. Je ne pense qu’un jour je vais m’arrêter de rêver. J’ai besoin de ça, vraiment. J’ai actuellement 1001 rêves réalisables ou pas dans l’immédiat, mais c’est ce qui me fait espérer dans les jours plus sombres à une vie meilleure.

Je ne peux pas me dire que je n’ai aucun rêve, j’en ai forcément des tas, ceux qui me donnent le sourire quand j’y pense au réveil le matin, ceux qui vont être réalisables durant la journée, ceux qu’on peut se dire jamais je n’aurais pensé rêver à cela…

Et puis il y a ceux qui sont dans le domaine du réalisable mais plus tard.. Et pourtant ces rêves du plus tard, sont ceux qui donnent un sens à ma vie, ceux pour lesquels je me bats doublement pour qu’ils se réalisent

J’ai tellement de rêves, j’ai tellement envie de me sortir de cette maladie, de syndrome du stress post-traumatique pour pouvoir réaliser mes rêves. Je ne veux pas que les angoisses liées à ce stress post traumatique continuent de m’empêcher de vivre certaines choses, de réaliser certains rêves. Je me suis toujours battue pour faire ce que je voulais, je me mets des coups de pieds aux fesses chaque jour pour atteindre mes objectifs, réaliser mes rêves, me prouver chaque jour que la vie a été une sacrée salope avec moi, je suis dans l’espérance (surtout mon côté catho qui veut ça) pour me dire qu’il ne faut jamais cesser de croire en soi, en ses « pouvoirs » et qu’un jour ou l’autre si on se donne les moyens les rêves sont réalisables ou au moins j’aurais tout mis en oeuvre pour les réaliser.

J’ai toute une liste longue comme mon bras de rêves à réaliser, il y en a qui ont déjà été réalisés il y a plus ou moins longtemps, il y en a que je vais pouvoir faire quasiment aujourd’hui et d’autres seront dans l’objectif, des prochains jours, des prochaines semaines, des prochains mois ou des prochaines années, mais il ne faut jamais oublier que nos rêves sont tous réalisables un jour ou l’autre, qu’on doit s’en donner les moyens.

Je pense à Cyril en écrivant ce billet, car c’est quoi ton rêve c’est bien ta phrase à toi.